📉 Des chiffres officiels remis en question
Pompliano dénonce l’utilisation d’outils statistiques complexes, comme l’indice des prix à la consommation (CPI) ajusté hédoniquement, pour adoucir artificiellement les hausses de prix. Cette méthode considère qu’un produit amélioré justifie une augmentation tarifaire, ce qui selon lui ne reflète pas la réalité vécue par les ménages. Résultat : une inflation perçue bien plus élevée que celle annoncée par les autorités.
Il n’est pas le seul à pointer du doigt cette manipulation potentielle. Plusieurs économistes indépendants s’interrogent aussi sur la véracité des chiffres du chômage, souvent revus à la baisse grâce à des critères de « participation active » qui excluent certains demandeurs d’emploi du calcul.
🛡️ Bitcoin et or : les refuges des investisseurs inquiets
Face à cette perte de confiance, certains grands noms de la finance se tournent vers des valeurs refuges. Paul Tudor Jones, célèbre investisseur, affirme être « long sur Bitcoin et l’or », voyant en ces actifs des boucliers contre la dévaluation monétaire et l’instabilité macroéconomique. Il considère que le Bitcoin, avec son offre limitée à 21 millions d’unités, représente un contrepoids crédible aux politiques inflationnistes des banques centrales.
Dans la communauté crypto, cette défiance vis-à-vis des indicateurs économiques traditionnels est un moteur de conviction. Le discours de Pompliano s’inscrit dans une mouvance plus large de remise en cause de l’appareil statistique étatique, au profit de solutions décentralisées et transparentes.
💬 Et vous, que pensez-vous de ces accusations ?
La confiance dans les institutions repose sur la transparence et l’exactitude des données. Si les statistiques sont manipulées, quel impact cela pourrait-il avoir sur l’économie, les marchés financiers ou même les élections ? Croyez-vous que le Bitcoin représente une réelle alternative à la finance traditionnelle ? 💬🤔