Alors que les marchés financiers tremblent depuis l’annonce de nouvelles taxes américaines sur les importations le 2 avril dernier, un actif résiste à la panique généralisée : le Bitcoin (BTC). Dans une récente note, les analystes de la firme AllianceBernstein (AB) décrivent une situation atypique : malgré une baisse de 26 % depuis son sommet du 20 janvier, le BTC s’en sort beaucoup mieux que lors de précédentes crises, où il avait chuté de 50 à 70 %. 📉
💡 Pourquoi un tel changement ? Le Bitcoin semble avoir mûri. De plus en plus considéré comme une réserve de valeur, il s’apparente désormais à une version numérique de l’or. Selon Bernstein, cette résistance est la preuve d’une demande solide, même en période d’incertitude.
📌 Les experts soulignent que cette résilience n’est pas un hasard. Le BTC attire les investisseurs à long terme, pas uniquement les spéculateurs. Sa liquidité, sa décentralisation et sa rareté programmée (21 millions d’unités maximum) en font un candidat sérieux au statut de valeur refuge. Et ce, même face aux tensions géopolitiques croissantes, à l’instabilité des marchés boursiers, ou encore aux incertitudes sur les politiques monétaires mondiales.
📈 Mieux encore : même ceux qui avaient acheté du BTC au sommet de 2021 sont toujours en bénéfice en 2025 (+10 %). Et les plus patients qui ont acheté pendant les creux de 2022 peuvent actuellement afficher des gains de plus de 400 %. Des chiffres qui donnent à réfléchir, surtout quand on les compare à la performance des marchés traditionnels sur la même période.
🔍 Ce comportement du Bitcoin pousse certains analystes à le considérer comme un indicateur avancé du risque sur les marchés, et non plus seulement comme un actif marginal ou spéculatif.
🪙 Le Bitcoin est-il en train de gagner définitivement sa place dans les portefeuilles des investisseurs ?
🤔 Peut-il vraiment rivaliser avec l’or face aux tempêtes économiques à venir ?
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